Le président de l'Université d'Oakland entretient des liens particuliers avec MLK Jr.

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Le Dr Ora Hirsh deviendra finalement président de l'Université d'Oakland. Mais bien avant cela, elle était l'une des participantes au discours I Have A Dream de Martin Luther King Jr. à Washington DC - et elle a depuis lors gardé les leçons de cette journée avec elle.

ROCHESTER, Michigan (FOX 2)- Avant d'être présidente de l'Université d'Oakland et avant d'obtenir son diplôme de médecine et de se lancer dans le monde des affaires américain, le Dr Ora Hirsch Pescovitz faisait partie des dizaines de milliers de personnes qui ont défilé sur Washington.

Fille d'un éminent chef religieux, le père de Hirsch entretenait une relation particulière avec Martin Luther King Jr. C'était une relation qui la façonnerait pour les années à venir.

"Vous savez, je me souviens avoir pensé que c'était une histoire en train de se faire", a déclaré Hirsh, en repensant au discours I Have a Dream de MLK. "(C'était un) message extrêmement puissant pour moi et c'est resté une partie importante de chaque travail que j'ai occupé depuis."

Le père de Hirsh, le rabbin Richard Hirsch, avait l'habitude d'héberger MLK dans son bureau lorsque le leader des droits civiques se rendait à Washington DC, s'arrêtant sur Massachusetts Avenue.

"Et en fait, à Washington et dans le bureau de mon père, il a rédigé le Civil Rights Act de 1964 et le Voting Rights Act de 1965", a-t-elle déclaré.

C'était un an plus tôt, lorsque Hirsch assistait au célèbre discours de King.

"Je me souviens avoir pensé au Rêve et à ce que signifiait le Rêve et qu'il était puissant de rêver d'un avenir idyllique", a-t-elle déclaré, "et que dans le futur, les gens seraient égaux et libres et c'est ce dont je me souviens que la vie serait soit meilleur pour tout le monde. »

Aujourd'hui à la tête d'une grande université du Michigan, elle dit qu'elle transmet le message de King partout où elle va.

C'est particulièrement pertinent dans le domaine de l'éducation, où la race recoupe les opportunités d'apprentissage partout dans le monde.

"Même si nous ne pouvons pas recruter sur la base de la discrimination positive, nous réussissons très bien à recruter des étudiants sous-représentés et des étudiants mal desservis", a-t-elle déclaré.

Elle a ajouté que son travail pour atteindre l'objectif de King ne s'arrête pas non plus à son travail.

"J'ai fait plusieurs dons pour essayer de faire cela. J'ai fait un don en l'honneur de mes parents, spécifiquement pour la justice raciale et sociale. En fait, spécifiquement, en l'honneur du rêve exact de MLK, et c'était vraiment de recruter et de retenir des professeurs, des professeurs sous-représentés, afin que nos étudiants puissent voir des professeurs qui leur ressemblent.